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Les députés ont validé le changement d’indice de référence qui sert de base à la revalorisation de la part patronale du titre-restaurant, précise Capital. Jusque-là, il était indexé sur la première tranche du barème de l’impôt sur le revenu. Désormais, la part patronale suivra l’indice des prix à la consommation.
Dans la pratique, si les entreprises fixent librement le montant du ticket-restaurant, la loi les exonère de cotisations sociales jusqu’à 5,52 euros sur chaque titre. Avec le nouvel indice, l’évolution à la hausse de ce plafond devrait être plus rapide et, ainsi, doper le pouvoir d’achat des quelque 4 millions de salariés qui utilisent des « tickets-restau ».
Dans le cas d’un salarié qui travaille 218 jours par an et qui reçoit autant de tickets d’un montant de 10 euros, la différence aurait été de 41 euros sur l’année, sachant que l’entreprise doit prendre en charge 50 à 60% du prix du titre.
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« Par rapport au coût de l’alimentaire, l’avantage du ticket-restaurant était en train de s’étioler pour les salariés », commente Bénédicte Caron, vice-présidente nationale de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME).
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