« Abus de faiblesse dans les contentieux successoraux : comment tenter de l’éviter et le combattre ? »

La disparition d’un proche peut être source de conflits familiaux, en particulier lorsque le décès est intervenu à la suite d’une maladie susceptible d’altérer le consentement, telle la maladie d’Alzheimer. Un héritier peut alors découvrir qu’un tiers, ou un autre héritier, a profité de l’état faiblesse du défunt pour l’inciter à réaliser des actes dans son seul intérêt sans considération de la volonté du de cujus. Par Stéphane Micheli, associé chez Herald.